Martine, Polochon, insectes et génocide

Comme le dirait l’immense, l’incomparable, l’éternel Bernard Lavilliers : on the road again ! Cette fois, on quitte le Mondulkiri, avec nos habits boueux mouillés dans des sacs plastiques comme des clodos, direction Sihanoukville (tout au sud, à la mer!), via Phnom Penh. 2 fois 4 heures de bus (sur le papier…). En vrai, c’était plus proche […]